UNE ENVIE COQUINE VITE FAIT!

Source : www.union.fr – Auteur : PAULE – le 9 JANVIER 2024


Eline et son petit ami Didier partent voir sa mère. Sur le chemin elle a eu une envie folle d’ébranler son copain histoire de pimenter l’atmosphère.

Eline, à fond la caisse !

On roulait avec Didier sur l’autoroute A6, celle qui pourfend la France pour aller de la capitale jusqu’à Lyon.Voici mon histoire de sexe.

Dans sa voiture de luxe, à toute allure sur la voie de gauche, Didier m’expliquait à quel point sa famille, que je m’apprêtais à rencontrer pour la première fois, allait m’adorer. C’est simple, selon ses dires, sa mère encensait tout ce qui le concernait : sa belle carrière, la déco de son appartement parisien qu’il avait choisie lui-même et même son chien miniature qu’elle baptisait chaque jour de créatifs surnoms. J’ajoutais silencieusement dans sa liste ses innombrables conquêtes féminines qu’il aimait faire défiler devant sa reine mère et sa fratrie envieuse.

Son enthousiasme m’amusait… et m’a très vite donné des envies coquines. « Elle en penserait quoi ma future belle-mère si elle me voyait te sucer au volant ? ». Didier s’est mis à hurler à la folie, m’a imploré de ne surtout pas le toucher, mais je voyais déjà une belle bosse se heurter au tissu rigide de son jean. Il conduisait, les deux mains sur le volant, attentif à la route mais sa frustration était terrible.

Presque palpable dans l’air. « Bon ! C’est bon, tu m’as eu ! À la prochaine aire, on s’arrête et tu vas voir ce que tu vas voir ! ». Je lui caressais tendrement la cuisse en faisant exprès de passer près de sa gaule. Je pouvais presque le jurer : il était à deux doigts d’imploser et de se spermer dessus. Heureusement, l’aire d’autoroute est arrivée assez vite et il a pris le temps de se garer tout au fond du parking, là où nous étions à l’abri, caché par des arbres. Personne à l’horizon. « Je n’en peux plus Éline ! Tu m’as excité comme un malade ! Maintenant, tu vas mesucer. Et bien fort. »J’aimais quand il me parlait sur ce ton, de façon autoritaire, avec des mots secs et tranchants.Il le faisait dans les grands moments, quand son excitation prenait toute la place dans son cerveau. Il a passé une main tendrement sur ma nuque et je me suis penchée soigneusement au-dessus de son entrejambe, plaçant mes cheveux près de mon épaule. J’ai libéré son pénis bandant de désir et ai envoyé valser son pantalon. Une légère odeur de transpiration s’en est échappée.

suçeuse au volant

Une jouissance en quelques secondes

Il bandait bien fort, son sexe était déjà décalotté. Mes lèvres sont venues tendrement encercler son gland et j’ai commencé, doucement, à la sucer.« Plus vite, plus vite ! Tu voulais ma bite ? Maintenant tu assumes tes appétits de gloutonne ! » J’ai essayé d’enfoncer son membre encore plus profondément. La position était instable, je glissais sur mon siège, et son gland frottait sur mes joues, mes lèvres, mes dents. Enfin, j’ai réussi à la stabiliser au niveau de ma gorge. Avec quelques à-coups, je l’ai fait rentrer d’un ou deux centimètres supplémentaires, ce qui m’a fait un peu baver en même temps. « T’inquiète ma belle ! Tu peux répandre ta salive autant que tu veux ! C’est riche en bons nutriments, ça va lustrer le cuir de la banquette… » Je dois bien avouer que j’aimais beaucoup ça ! Recevoir la bite entière de Didier dans la bouche, deviner ses fluides glisser en moi hummmm. L’ingérer et le faire mien. Je lui ai un peu massé les couilles en même temps, de ma main droite. C’était si bon que ses gémissements se faisaient de plus en plus fort, comme s’il allait jouir ! Je n’avais pas envie qu’il me gicle dans la bouche, pas tout de suite du moins, et j’ai pris l’initiative de changer de position. « Je veux te sentir en moi… » lui ai-je chuchoté à l’oreille. Alors, Didier m’a prise sur les sièges sans prendre la peine de me déshabiller.

Sexe au volant

Il a relevé ma jupe, a fait basculer mon string sur le côté et s’est enfoncé doucement en moi. Comme il était bien lubrifié de ma salive, il n’a eu aucun mal à se faufiler entre mes lèvres et à atteindre, très vite, toutes les parties les plus innervées de mon anatomie. Il faut dire que ma pipe m’avait bien excitée ! Chacun de ses mouvements de rein provoquait en moi des feux et des tempêtes. Je gémissais fort, et comme Didier craignait que l’on nous entende, il a collé sa main sur ma bouche. Ce mouvement d’autorité m’a fait fondre. Mon bassin se soulevait de lui-même, cherchait les meilleurs angles pour que sa bite tape en moi. J’ai joui, de cette façon, les fesses collées sur son cuir chaud, trempé de mes fluides. Didier a joui à peine quelques secondes après moi, dans de terribles secousses. Nous sommes rhabillés à la hâte et il a filé en trombe sur l’A6. « C’est toi qui justifies le retard à ma mère, OK ? Normalement son fils chéri est toujours à l’heure… ». Tu parles, son fils chéri n’est peut-être pas encore assez habitué aux petites délurées de ma trempe…

J’espère que tu as aprécié cette petite histoire, et que cela soit une mise en bouche pour tenter ce type d’expérience en voiture si tu ne l’a pas encore expérimenté hahaha 👄

Christine D.

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