À Las Vegas, on peut payer les strip-teaseuses avec des Bitcoins
Source : coin24.fr | par Amélie | Paru le 1er mars 2018
À Las Vegas, on peut payer les strip-teaseuses avec des Bitcoins
Glisser un billet sous le string d’une strip-teaseuse pourrait bientôt être désuet. En effet, le Legends Room, un club de strip-tease à Las Vegas, vient tout juste de lancer un nouveau concept en acceptant le paiement des shows des danseuses en Bitcoins !
Une idée originale
C’est une première internationale. En effet, le propriétaire d’un club de strip-tease de Las Vegas, Nick Blomgren, célèbre homme d’affaires, vient de lancer un concept innovant. Dorénavant, au Legends Room, les clients peuvent payer le show des strip-teaseuses en crypto-monnaies.
Il est très fier de son idée et a déclaré : « Nous entendions beaucoup parler du Bitcoin depuis environ un an et demi, et je me suis demandé de quelle façon nous pourrions transformer cette technologie en nouveau service. […] Je me suis dit que ce serait beaucoup plus adapté à mon club de strip-tease. C’est en effet le meilleur endroit pour ce genre de paiement. Comme c’est totalement anonyme, le client peut rester discret vis-à-vis de sa femme et la strip-teaseuse aussi vis-à-vis de son petit ami. »
Un moyen de paiement comme un autre
Voilà donc comment le Bitcoin a finalement été accepté dans ce club de strip-tease particulièrement célèbre. Ainsi, celui qui possède un compte de crypto-monnaies peut l’utiliser dans cet établissement de manière totalement anonyme.
l’utiliser dans cet établissement de manière totalement anonyme.
Mais ce n’est pas tout, car cet homme d’affaires a de la suite dans les idées. En effet, certaines de ses danseuses de charme ont des codes QR dessinés sur la peau : ainsi, les clients peuvent payer les shows directement aux filles, discrètement. Il fallait y penser !
Ce propriétaire d’un club de strip-tease a donc trouvé une nouvelle utilité au Bitcoin. Il fallait y penser, et il faut avouer que ce concept ne manque pas d’originalité. Après tout, pourquoi pas !
Christine D.